L’ultime étape de la vie est-elle la mort ?
C’est ainsi que l’on parle généralement de la mort et que parfois même on l’explique aux enfants : « Il a fini de vivre ».
Mais la foi chrétienne nous invite à avoir un autre regard sur la mort. Elle nous invite à garder la ferme assurance que la mort n’est pas la fin de tout, malgré la douleur de la perte d’un être cher, malgré le vide laissé par l’absence de celui que l’on a aimé, et sans occulter la souffrance d’une longue maladie, et parfois la solitude.
Quelques remarques et repères avant de rencontrer les « opérateurs funéraires »:
Sous l’emprise de la peine et de la douleur, vous serez amenés à effectuer des choix, si vous souhaitez modérer le coût des obsèques. Vous avez la possibilité de demander plusieurs devis, d’où l’importance d’y réfléchir avant.
A savoir que « la garde du corps » en cas de décès à l’hôpital est gratuite trois jours, une chambre ardente est proposée pour un coût modique. Ramener le corps au domicile du défunt évite le coût important de la chambre funéraire.
L’incinération n’est effectuée que par un opérateur, les autres utilisent ses services en sous-traitance…etc.
En cas de décès, quelles sont les démarches à accomplir ?
La famille s’adresse aux Pompes Funèbres qui contactent la Paroisse pour décider du jour et de l’heure des obsèques. La famille rencontre ensuite, à la paroisse, le prêtre ou le laïc qui l’accueille et prépare avec elle la célébration.
Lors des entretiens avec les familles demandant des funérailles chrétiennes, la rencontre a souvent plusieurs dimensions :